04 Novembre 2020
L’ONG Tolotsoa a procédé au lancement officiel du projet Balaky le 04 Novembre dernier au Pavé Antaninarenina. Pour cette occasion, la plateforme numérique du projet www.balaky.org a été présentée au public et les feedbacks pour amélioration étaient les bienvenus.
Balaky est une initiative basée sur le principe de parlement ouvert. Le projet entend contribuer au renforcement de la démocratie à Madagascar. Le mot balaky est étymologiquement issu du dialecte Antesaka, du Sud-Est de la Grande Ile, qui signifie éclairé ou lumineux qui reflète ainsi les objectifs de l’ONG Tolotsoa.
Aussi, Balaky vise à améliorer la compréhension des citoyens malgaches du Parlement, des parlementaires ainsi que de leurs rôles et les enjeux démocratiques qui y sont liés à travers l’utilisation des nouvelles technologies reposant sur le concept de l’Open Data. Par ailleurs, nous estimerons participer à la promotion de la transparence des institutions et du droit des citoyens à l’information en créant une plateforme et un espace d’échange entre les citoyens et leurs représentants pour relancer le dialogue social qui est un aspect essentiel d’une société démocratique.
Balaky s’adresse alors :
- Aux citoyens sensibles à la vie publique et aux informations qui y sont relatives
- Aux membres du Parlement souhaitant faire connaître leurs travaux dans l’exercice de leurs mandats
Aux organisations qui promeuvent le droit des citoyens à l’information
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Concours destinés aux jeunes de 18 à 30 ans
Nous incitons les jeunes de Madagascar à participer dans la réalisation de ce projet, via la participation aux concours que nous lancerons dans le courant de ce mois de Novembre. Le concours est divisé en deux catégories :
- Concours d’art à travers lequel les jeunes malgaches talentueux pourraient s’exprimer librement sur un thème que nous proposons
- Concours d’écriture d’articles portant sur un thème bien défini.
Divers lots seront attribués, en plus de la parution des articles/dessins sur le site internet et la page Facebook du projet.
Ce projet a pu voir le jour grâce au financement et au soutien technique du programme d’appui à la société civile malgache, Fanainga, soutenu par ses quatre bailleurs, à savoir l’Union Européenne, la Coopération Allemande, la Gouvernement Princier de Monaco et l’Ambassade de France à Madagascar.
